« Massimo Guerrera est né en 1967 à Rome. Il vit et travaille à Montréal. Il crée des lieux de rencontre et de pratique pour observer et travailler sur la fluidité de l’être ensemble et de la solitude habitée de l’atelier et du quotidien. Cette recherche se penche également sur la manière dont les pratiques méditatives et contemplatives dialoguent avec les pratiques artistiques. Ces moments de pratique constituent la matière de base de tous les signes et les traces manifestes, qui ensuite se recomposent en installation vivante, dans le cadre de projet à long terme.
Il expose ses œuvres depuis 1989 au Canada et à l’étranger. De ses expositions individuelles, mentionnons « La Cantine » au centre Dare-Dare en 1997, « Darboral » entamé en 2000 à la Biennale de Montréal, au Musée national des beaux-arts du Québec en 2002 et à la Fonderie Darling en 2008. Signalons également « Porus » entamé en 1999 à la galerie Leonard et Bina Ellen, poursuivi en 2001 au Centre des arts actuels SKOL.
Le projet Darboral a également été présenté à Montréal à la galerie Joyce Yahouda et à la Toronto Clint Roenisch Gallery, à Vancouver à la Contemporary Art Gallery en 2004, ainsi qu’au Musée des beaux-arts du Canada en 2008-2009. Le projet La Réunion des pratiques a été présenté durant la Triennale québécoise 2011 au Musée d’art contemporain de Montréal. Le projet Introspections photosensibles a été présenté durant le Mois de la Photo 2011 Lucidité. Massimo Guerrera est récipiendaire du prix Ozias-Leduc 2001, décerné par la Fondation Émile-Nelligan ainsi que du prix Louis Comtois en 2008. »
Référence :
La Biennale de sculpture de Saint-Jean-Port-Joli, « Bios des artistes et invités 2012 : Massimo Gerrera », http://www.biennaledesculpture.com/default.asp?no=181, consulté le 12 février 2013.
Collections :
Biennale de sculpture de Saint-Jean-Port-Joli (Photographe : Jean-Sébastien Veilleux)
Musée de la mémoire vivante (Photographe : Julianne Pesant-Tremblay)