La sculpteure allemande Tania Roder signe le livre-souvenir de l'Internationale de la sculpture 2008.
La sculpteure Tania Roder lors de l'Internationale de la sculpture 2008.
« La perception et la compréhension de la nature sont les fondements de mes œuvres d’art, pour moi-même et en tant que demande de celui qui contemple. De nombreuses études de la nature – le nu humain, les animaux, leur anatomie, les os, les formes florales, les pierres, les moules et le bois flotté – sont les bases de mes sculptures.
Tania Roder, Allemagne, « Femme = séduction », Internationale de la sculpture 2008.
Tania Roder, Allemagne, « Femme = séduction », Internationale de la sculpture 2008.
Tania Roder, Allemagne, « Femme = séduction », Internationale de la sculpture 2008.
Dans mon travail, je me distance de plus en plus de la vision naturaliste. Je crois que la nature ne pourra jamais être imitée. Elle incarne la perfection dans son rôle, ses proportions et sa beauté. Je ne veux pas copier la nature, mais la comprendre. Avec le thème de « L’HUMAIN », je réalise mes perceptions.
Tania Roder, Allemagne, « Femme = séduction », Internationale de la sculpture 2008.
Tania Roder, Allemagne, « Femme = séduction », Internationale de la sculpture 2008.
Tania Roder, Allemagne, « Femme = séduction », Internationale de la sculpture 2008.
Tania Roder, Allemagne, « Femme = séduction », Internationale de la sculpture 2008.
Tania Roder, Allemagne, « Femme = séduction », Internationale de la sculpture 2008.
Tania Roder, Allemagne, « Femme = séduction », Internationale de la sculpture 2008.
L’effet obtenu est un processus constant de développement, de concentration, de compression croissante de l’expression comme telle. Cela donne des formes organiques. Elles nous invitent à les toucher. Le bois matériel et le design différents, la dynamique de la surface, nous laissent toujours trouver quelque chose de nouveau. La forme naturelle du tronc de l’arbre doit être maintenue : elle a la possibilité de vivre dans la nature en tant que sculpture.
Tania Roder, Allemagne, « Femme = séduction », Internationale de la sculpture 2008.
Tania Roder, Allemagne, « Femme = séduction », Internationale de la sculpture 2008.
Tania Roder, Allemagne, « Femme = séduction », Internationale de la sculpture 2008.
Des lignes et des contours clairs créent une interaction avec les surfaces et les formes arrondies. Le volume contraste avec des formes filigranes et des percées. La surface douce contraste avec des structures complémentaires, qui attirent l’attention. Des vernis noir et blanc accentuent également l’expression. Le bois continuera de vivre. »
L’œuvre (Prix des artistes) : Femme = séduction
« Le corps humain, tel que la nature l’a créé, est parfait dans sa fonction, ses proportions et sa beauté. La femme est l’incarnation du désir et de la séduction. Elle est belle et érotique. »
Tania Roder, Allemagne, « Femme = séduction », Internationale de la sculpture 2008.
Tania Roder, Allemagne, « Femme = séduction », Internationale de la sculpture 2008.
Les artistes Tania Roder (à gauche) et Daniela Romagnoli (à droite) posent devant la sculpture « Femme = séduction » lors de l'Internationale de la sculpture 2008. Elles ont respectivement gagné le prix des artistes et le prix du public. Le trophée qu'elles tiennent est une reproduction en hydrostone, couleur bronze, de l'œuvre en bois « Mystique » qui a été créée par Louis Lavoie.
Tania Roder, Allemagne, « Femme = séduction », Internationale de la sculpture 2008. Photo prise en 2013.
Tania Roder, Allemagne, « Femme = séduction », Internationale de la sculpture 2008. Photo prise en 2013.
Tania Roder, Allemagne, « Femme = séduction », Internationale de la sculpture 2008. Photo prise en 2012.
Tania Roder, Allemagne, « Femme = séduction », Internationale de la sculpture 2008. Photo prise en 2013.
Références :
Internationale de la sculpture de Saint-Jean-Port-Joli (2008). 14e Symposium en taille directe : « La séduction ». Du 30 juillet au 3 août 2008 [brochure], p. 6.
Josette Dubé
Collections :
COFEC (Photographes : Madeleine Quesnel et Claude Ménard)
Musée de la mémoire vivante (Photographes : Isabelle Hardy et Julianne Pesant-Tremblay)